Portraits croisés de Marceau PEREZ et Myriam STAMBOULI

Marceau PEREZ Myriam STAMBOULI

Découvrez Marceau PEREZ et Myriam STAMBOULI respectivement président et vice-présidente des JDem 92

Place à la jeunesse.

Présentez-vous en quelques mots :

Marceau Perez (MP) : Je m’appelle Marceau Perez, j’ai 21 ans et je milite au Mouvement Démocrate depuis 2 ans. 

En 2019, c’est une rencontre qui m’a fait rejoindre ma famille politique. J’ai passé un été à travailler à l’Assemblée Nationale avec Bruno Millienne, député des Yvelines. J’ai noué des liens forts avec l’équipe parlementaire et cela m’a donné envie de rejoindre le parti. 

Il m’était donc naturel de m’invertir au sein du mouvement de jeunesse du MoDem dont je suis aujourd’hui Secrétaire général. Je nourris par ailleurs une action locale en présidant la fédération des jeunes démocrates des Hauts de Seine.

Cet engagement s’est aussi traduit par une implication lors de deux scrutins. Lors des élections municipales et régionales, j’ai pu porter fièrement les couleurs du MoDem. 

Myriam Stambouli (MS) : Quant à moi, j’ai 20 ans et je suis Vanvéenne. Après un baccalauréat scientifique, j’ai décidé de m’orienter vers des études plus littéraires. Aujourd’hui, j’étudie le droit et les sciences politiques à Paris.

Mon désir d’engagement est d’abord passé par un engagement associatif fort depuis mes plus jeunes années. Ainsi, j’ai pu être porteuse de plusieurs projets notamment dans le cadre de mon lycée. 

Plus tard, je décide de m’engager auprès du Modem et deviens vice-présidente des jeunes démocrates des Hauts de Seine. J’y retrouve mes valeurs qui sont des valeurs humanistes, centristes et européennes.

Je souhaite m’engager davantage pour mon territoire. Les enjeux sont nombreux et j’estime que chacun, à son niveau, doit permettre de faire bouger les choses. C’est pour cela que je me suis engagée. Comme Marceau, j'ai été colistière sur la liste Envie d'Île-de-France avec Laurent Saint Martin.

Quels sont vos projets pour la jeunesse tant au niveau des jeunes démocrates que des Jeunes Démocrates du 92 ? 

MP : Le travail premier et impératif des mouvements de jeunesse est d’aider les jeunes à percevoir les enjeux de la vie démocratique. 

En tant que Secrétaire général des Jeunes Démocrates, j’essaye au quotidien avec le Bureau de montrer aux jeunes la place qui leur revient dans notre démocratie. Ce travail passe par le fait d’aller chercher les jeunes dans leur quotidien pour leur faire découvrir les enjeux des différentes élections, mais aussi de militer auprès des ainés pour que les jeunes soient bien représentés dans les instances.

Concernant les Hauts de Seine, nous devons nous appuyer sur le grand dynamisme de la jeunesse alto-séquanaise. Nous proposerons chaque mois des évènements divers afin que même en dehors des périodes d’élections les jeunes puissent s’investir dans notre mouvement. 

MS : Tout à fait d'accord. On reproche souvent aux jeunes de ne pas assez s’engager et de se désintéresser de la politique. Je veux montrer aujourd’hui, que les jeunes portent une nouvelle voie.

Je souhaite donner la chance aux jeunes de s’émanciper, de porter et mener à bien leurs projets. La jeunesse c’est l’avenir et la crise sanitaire que nous avons subie nous l’a bien démontré.

Il s’agit alors de donner la possibilité aux jeunes de s’exprimer et de faire des choix éclairés. Ainsi, nombreux d’entre eux souhaitent travailler à une société plus juste, et ce dès leur plus jeune âge. Les jeunes souhaitent faire valoir leurs idées, à nous de leur en donner la possibilité. 

Ainsi, je pense qu’il est nécessaire de créer des structures pour accompagner la jeunesse d’aujourd’hui, surtout après la crise sanitaire et son impact retentissant sur la vie des jeunes. Nous sommes dans un moment charnière et il nous est impossible de rater le coche. Il faut agir pour ceux qui ne le peuvent plus. Redonner un nouveau souffle à la jeunesse, répondre à son  désir d’engagement, sensibiliser les jeunes et chercher à promouvoir leurs idées. Il est primordial que toutes les générations s’impliquent en politique.

Au delà des question de jeunesse, quelles sont les sujets qui vous tiennent à coeur, vos domaines de prédilection ?

MP : Suite aux résultats des élections régionales et départementales, la grande question qui doit nous occuper est de savoir comment revigorer notre démocratie, particulièrement à l’échelle locale. 

Cela amène à s’interroger sur la perception que les français ont de chaque élection. À mon sens, cela invite à repenser la répartition des compétences entre les différentes échelles de gouvernance. L’objectif étant que chaque scrutin soit clairement identifié par les citoyens et qu’ils en perçoivent précisément les enjeux. 

Mais au-delà de cet exemple concret, un travail institutionnel de fonds doit être mené. Sur la proportionnel, la répartition des pouvoirs ou encore la durée des mandats, les démocrates doivent être en mesure de penser l’avenir de notre démocratie. 

Personnellement, beaucoup de combat me tiennent à cœur, l’Europe au premier chef. Il s’agit véritablement de projeter la France vers un avenir meilleur que de soutenir la construction de l’Union. Il n’y a que par une intégration toujours plus forte que nous pourrons faire de l’Europe la puissance autonome qu’elle doit être. 

Enfin, je suis particulièrement touché par les politiques éducatives qui méritent, je le crois des changements importants. La pédagogie est la clé de la pérennisation de notre mode de vie. Pour cela nous devons nous donner les moyens d’instruire correctement nos enfants. Cela passe sans doute par une modernisation massive de l’enseignement en France. 

MS : Aujourd’hui, et au-delà des questions de la jeunesse, la question de l’accès à la culture pour tous me tient tout particulièrement à coeur. Il ne faut pas oublier que la culture a une dimension politique. En effet, elle est nécessaire à l’épanouissement du citoyen et à la cohésion sociale. Ainsi, l’accessibilité à la culture est un enjeu majeur dans notre société. Et après la crise que nous venons de vivre, nous avons vu oh combien il est primordial de soutenir les lieux de culture.

Amatrice des concours d’éloquence, je fais de la parole mon sport de combat. En parallèle, je pratique les arts martiaux depuis maintenant plus de 10 ans. Cela donne de la cohérence et du sens à mon projet. Je suis convaincue que le sport est un vecteur social qu’il est nécessaire de mettre en avant.
 

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